Tu prévois ton webinaire pour lundi matin ? Tu risques de perdre jusqu’à 30 % des participants potentiels. Pourquoi ? Parce que le lundi matin, la plupart des gens sont occupés à rattraper leur retard dans leurs e-mails, à régler les urgences du week-end et à penser à tout sauf à participer à un événement en ligne. Mais il y a une meilleure solution.
D’après les dernières données de 2024, le mercredi à 16 h est le créneau horaire le plus efficace pour les webinaires. Ce n’est pas une coïncidence, c’est le résultat de l’analyse de millions d’événements en ligne organisés sur des plateformes de webinaires. Dans cet article, on va te montrer exactement quand organiser tes webinaires pour augmenter la participation de 30 à 40 %.
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Informations clés
- Le mercredi est clairement le jour gagnant : les événements en milieu de semaine attirent le plus de participants, tandis que les lundis et les week-ends peuvent entraîner une baisse significative de la participation.
- 16 h est le créneau idéal : les événements organisés l’après-midi (16 h-17 h) et le matin (8 h-9 h) sont les plus populaires.
- Le mardi et le jeudi sont de bonnes alternatives – si le mercredi est complet, ces jours-là donnent aussi de bons résultats en termes de participation.
- L’automatisation du calendrier est importante – les plateformes avec des fonctionnalités d’événements récurrents, des rappels automatiques et des intégrations de calendrier augmentent la participation de 15 à 20 %.
- Le marché allemand a des préférences différentes : alors que la plupart des pays préfèrent l’après-midi, le marché allemand montre une nette préférence pour les événements du matin (7 h à 9 h).
Pourquoi le timing est plus important que vous ne le pensez
Vous avez passé des semaines à préparer le webinaire parfait. Vous avez un excellent intervenant, un sujet intéressant, une présentation professionnelle. Tu envoies les invitations, et tout à coup, la moitié des personnes inscrites ne se pointent pas. C’est frustrant ? Carrément.
Souvent, le problème, c’est pas ton contenu ou ta promo. C’est le moment que t’as choisi pour organiser l’événement. Même le webinaire le mieux préparé n’attirera pas de participants s’il a lieu un vendredi après-midi, quand tout le monde a déjà la tête ailleurs.
Les données de la plateforme ClickMeeting 2024 sont super claires à ce sujet. L’année dernière, un événement en ligne durait en moyenne 106 minutes et rassemblait en moyenne 75 participants. Mais ces chiffres changent radicalement selon le jour de la semaine et l’heure de début. La différence entre le créneau horaire optimal et le pire créneau horaire peut se traduire par 30 à 40 % de participants en plus.
Réfléchis-y en termes commerciaux. Si tu attires normalement 100 personnes à ton webinaire, choisir le bon moment pourrait te permettre d’atteindre 130 à 140 participants. Ça représente 30 à 40 clients potentiels, prospects ou membres de la communauté supplémentaires. Tout ça grâce à une seule décision : celle que tu prends en cliquant sur « programmer l’événement ».
Tes participants consultent leur téléphone environ 96 fois par jour. Ils sont bombardés de réunions, de délais et de distractions. Ton webinaire est en concurrence avec tout ce qui se passe dans leur vie professionnelle et personnelle pour attirer leur attention. Choisir le mauvais créneau horaire, c’est se lancer dans une bataille difficile avant même d’avoir commencé.
Le mercredi l’emporte, mais pourquoi ?
Quand on analyse les données de participation pour les différents jours de la semaine, une tendance se dégage très clairement. Le mercredi s’impose systématiquement comme le meilleur jour pour organiser des webinaires. Ce n’est pas une coïncidence ni une tendance locale, mais un phénomène mondial observé par les plateformes de webinaires du monde entier.

Pourquoi le mercredi a-t-il un tel avantage ? Les gens sont déjà en mode travail. Le chaos du lundi, avec la planification de la semaine et le traitement des urgences, est passé. En même temps, le week-end n’est pas encore proche, donc les participants ne se déconnectent pas mentalement du travail. Le mercredi, on est dans le moment idéal pour être productif : concentré mais pas épuisé.
D’après les dernières données de State of Online Events 2025, le mercredi est le jour le plus populaire pour les événements en ligne, suivi de près par le mardi et le jeudi. Ça confirme un principe observé depuis des années : la plupart des événements ont lieu en milieu de semaine.
En analysant les données de millions d’événements organisés sur notre plateforme, on constate clairement que le mercredi n’est pas seulement le jour le plus populaire, c’est aussi le jour où la fréquentation est la plus élevée. Le mercredi, les gens sont plus disposés à apprendre et à s’engager. C’est le moment parfait pour les capter, entre le stress du début de semaine et la préparation mentale pour le week-end.
Tomasz Bołcun
Responsable de marque @ ClickMeeting
Regarde les données de plus près. Le lundi, c’est l’effet « rattrapage » : tes participants potentiels sont en train de parcourir les centaines d’e-mails qui se sont accumulés pendant le week-end. Le vendredi, la plupart des gens ont déjà déconnecté mentalement et pensent au week-end, même s’ils sont encore officiellement au boulot.
Et le week-end ? Oublie-le complètement, sauf si tes événements s’adressent à un public très spécifique prêt à sacrifier son temps libre pour son développement professionnel.
Mais le mercredi a un autre avantage caché. Les gens planifient souvent leur semaine le lundi ou le mardi. S’ils se sont inscrits à ton webinaire du mercredi, ils ont tout le début de la semaine pour s’en souvenir et l’intégrer dans leur emploi du temps. En même temps, ce n’est pas si loin dans le futur qu’ils risquent de l’oublier.
Les heures d’or : quand commencer exactement ?
Tu as choisi le mercredi comme jour de webinaire. Super ! Mais maintenant, la deuxième question cruciale se pose : à quelle heure commencer ?
16 h est l’heure gagnante. Les données de ClickMeeting montrent que cette heure est la plus populaire parmi les organisateurs. Pourquoi ? C’est le moment idéal de la journée. Les gens ont fini de déjeuner et ont retrouvé leur énergie après le repas. En même temps, la journée de travail n’est pas encore terminée, donc ils ne se sentent pas encore fatigués.
Juste après 16 h, on trouve 17 h, un choix populaire pour les événements qui visent les gens qui veulent finir leur journée de travail avec quelque chose de productif. C’est aussi un bon créneau pour les participants américains quand tu organises un événement à l’heure européenne.

Mais n’oublie pas les heures du matin. 8 h est le troisième créneau horaire le plus populaire pour commencer un webinaire. C’est un super choix pour les formations internes, les réunions d’équipe ou les événements qui visent les « lève-tôt » qui sont les plus efficaces en début de journée.
Des tendances intéressantes apparaissent quand on regarde les différences régionales. En Pologne, en Espagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis, les après-midis et les débuts de soirée sont les plus populaires, entre 16 h et 19 h. Mais le marché allemand est complètement différent. Là-bas, la plupart des événements ont lieu entre 7 h et 9 h.
Qu’est-ce que ça veut dire pour toi ? Si ton public principal est composé de pros des pays germanophones, un créneau le matin pourrait être le meilleur choix. Si tu vises un public international réparti sur différents fuseaux horaires, tu dois réfléchir de manière stratégique.
Une chose à éviter absolument : 12 h-13 h. C’est l’heure du déjeuner pour la plupart des gens, ce qui signifie des conflits avec les pauses repas et une baisse drastique de la participation. Si tu dois organiser un événement autour de l’heure du déjeuner, déplace-le à 13h00 ou 13h30, lorsque la plupart des gens ont fini de manger.
Pour les événements B2B, évite également les fins de soirée (après 18h00 ou 19h00). À cette heure-là, les gens passent en mode « maison » et sont réticents à l’idée de repenser au travail. Tu peux utiliser les créneaux horaires du soir pour les événements B2C, surtout si tes participants sont des actifs qui n’ont le temps de se former que le soir.
Le problème du fuseau horaire – et comment le résoudre
Imaginons que ton public soit composé de professionnels de Pologne, d’Allemagne, des États-Unis et d’Australie. Tu choisis le mercredi à 16 h, heure polonaise. C’est parfait pour l’Europe. Mais qu’en est-il des États-Unis ? Pour eux, il est 10 h du matin sur la côte Est, ce qui est tôt, mais acceptable. Et l’Australie ? Là-bas, il est minuit. Pratiquement impossible.
C’est le problème classique des organisateurs de webinaires à portée mondiale. Il n’y a pas d’heure parfaite qui convienne à tout le monde en même temps. Vous devez donc réfléchir de manière stratégique.
Première stratégie : identifiez où se trouve la majeure partie de votre public. Si 70 % de tes participants sont en Europe, optimise l’heure pour eux. Les 30 % restants s’adapteront ou regarderont l’enregistrement. Ça peut sembler brutal, mais c’est une vraie décision commerciale.
Deuxième stratégie : organise deux sessions. C’est ce que fait le Verte Training Center, qui organise régulièrement des événements pour les pros des RH et de la comptabilité. Ils ont une série régulière appelée « HR Wednesdays » (les mercredis des RH), avec des événements tous les mercredis à la même heure. Cette régularité crée une habitude de participation et permet aux gens d’intégrer le webinaire dans leur emploi du temps.
Pour les événements internationaux, tu peux organiser le même événement deux fois : une fois pour l’Europe et les États-Unis, une deuxième fois pour la région APAC. Grâce aux fonctionnalités d’automatisation disponibles dans ClickMeeting, tu peux même enregistrer la présentation une seule fois, puis la « diffuser » à deux moments différents avec un modérateur disponible uniquement pour les sessions de questions-réponses. Ça te permet de doubler ta portée sans doubler ta charge de travail.
Troisième stratégie : utilisez le « créneau d’or » international. Le créneau 14h00-15h00, heure d’Europe centrale (CET), fonctionne étonnamment bien pour de nombreux fuseaux horaires simultanément. Il s’agit de 8h00-9h00 sur la côte est des États-Unis (tôt, mais possible), 13 h-14 h au Royaume-Uni (bon moment), 14 h-15 h en Pologne (après-midi) et 21 h-22 h à Singapour (tard, mais certains participants seront présents).
Le plus important : affiche toujours l’heure de l’événement dans le fuseau horaire local des participants. ClickMeeting le fait automatiquement : quand un participant américain s’inscrit à ton événement prévu à 16 h CET, le système l’affiche automatiquement à 10 h EST dans son fuseau horaire. Ça évite la confusion et les connexions incorrectes.
Comment l’automatisation du calendrier augmente la participation
Choisir le bon moment, c’est juste le début. La vraie magie, c’est quand tu automatises les processus autour de ce moment.
Réfléchis : quelqu’un s’inscrit à ton webinaire deux semaines à l’avance. Super ! Mais que se passe-t-il pendant ces deux semaines ? S’il n’y a pas de rappels, il y a de fortes chances qu’il oublie tout simplement. Les gens sont occupés. Les agendas se remplissent. D’autres priorités apparaissent.
Les rappels automatiques résolvent ce problème de manière élégante. ClickMeeting te permet de configurer une série de rappels, par exemple un la veille de l’événement et un autre une heure avant le début. Ces deux simples e-mails peuvent augmenter la participation de 15 à 20 %.
Pourquoi ça marche ? Le premier e-mail (la veille) donne aux gens le temps de planifier leur journée en fonction du webinaire. Ils peuvent déplacer des réunions, terminer d’autres tâches plus tôt, préparer des questions. Le deuxième e-mail (une heure avant) est le dernier rappel pour ceux qui avaient déjà prévu d’y assister, mais qui pourraient l’oublier dans le tourbillon des tâches quotidiennes.
Mais l’automatisation ne se limite pas aux e-mails. L’intégration du calendrier est un élément révolutionnaire que de nombreux organisateurs oublient. Lorsqu’un participant peut ajouter l’événement à son calendrier Outlook ou Google d’un simple clic, la probabilité qu’il se présente augmente considérablement.
Pourquoi ? Parce que votre webinaire fait soudainement partie de leur écosystème numérique. Il le voit sur sa liste de tâches pour la journée. Il reçoit un rappel dans son calendrier 15 minutes avant le début. En bref, il n’y a aucune chance qu’il l’oublie.
S-FX, qui a organisé 698 webinaires pour 24 735 participants uniques au fil des ans et généré un minimum de 380 000 dollars de revenus, insiste sur l’importance de la simplicité : « En tant qu’outil basé sur le Web, ClickMeeting ne nécessite jamais de téléchargements ni de jongler avec les options. Il nous faut moins de 15 minutes pour connecter les présentateurs et les former à la plateforme. »
C’est extrêmement important. Chaque obstacle supplémentaire (télécharger un logiciel, créer un compte, comprendre des instructions compliquées) est un point potentiel où vous risquez de perdre un participant. L’automatisation élimine ces frictions.
Autre élément d’automatisation à prendre en compte : les événements récurrents. Si vous organisez une série de webinaires réguliers (comme « Marketing Tuesdays » ou « Tech Talks Thursdays »), la fonctionnalité d’événements récurrents de ClickMeeting vous permet de définir l’événement une seule fois, par exemple « tous les mardis à 15 h », et le système génère automatiquement les sessions suivantes.
Le centre de formation Verte utilise cette fonctionnalité pour sa célèbre série « HR Wednesdays ». Tous les mercredis, à la même heure, les mêmes participants savent qu’ils peuvent s’attendre à cet événement. Grâce à l’automatisation, ils n’ont pas besoin de planifier manuellement chaque événement, le système le fait pour eux. Résultat ? Plus de 30 000 participants uniques et une moyenne de 6 000 inscriptions pour chaque événement.
La stratégie des « sessions jumelles » pour une portée maximale
Que faire si tu dois t’adresser à un public situé dans des fuseaux horaires très différents, mais que tu ne veux pas organiser plusieurs fois le même webinaire en direct ? C’est là que la stratégie des « sessions jumelles » entre en jeu.
Voici comment ça marche en pratique. Tu enregistres ta présentation une seule fois, de préférence en haute qualité, sans te presser, avec la possibilité de corriger les erreurs. Ensuite, tu planifies le même événement deux fois à des horaires différents. Par exemple : 11 h CET pour les lève-tôt en Amérique et 16 h CET pour l’Europe et l’APAC.
La clé : lors des deux sessions, tu diffuses le même événement enregistré, mais tu es disponible (ou quelqu’un de votre équipe) pour modérer le chat et les sessions de questions-réponses en direct. Pour les participants, cela ressemble à un événement en direct normal : ils voient la présentation, peuvent poser des questions et recevoir des réponses en temps réel.
Les avantages ? Vous doublez votre audience sans doubler votre travail de préparation. Vous n’avez pas à faire deux présentations, ce qui vous fait gagner du temps et de l’énergie. En même temps, les participants des deux fuseaux horaires bénéficient de « leur » heure d’événement.
ClickMeeting prend en charge ce flux de travail de manière native grâce à la fonctionnalité de webinaires automatisés. Tu enregistres une fois, le système diffuse automatiquement et tu te connectes uniquement pour modérer les interactions. E Level utilise une approche similaire pour ses cours techniques, atteignant un taux de participation de 60 à 65 % et un engagement des participants supérieur à 85 %.
Tu peux aussi étendre cette stratégie à un modèle « asynchrone permanent ». Tu enregistres une formation complète, tu la mets à disposition à la demande pour que les participants puissent la regarder à tout moment, mais tu organises régulièrement des sessions de questions-réponses en direct, par exemple tous les mercredis à 16 heures. Les gens regardent à leur rythme, notent leurs questions, puis viennent à la session en direct pour les poser.
Cette combinaison te donne le meilleur des deux mondes : la flexibilité du contenu asynchrone et la communauté et l’interaction en temps réel des événements en direct.
Durée de l’événement : le facteur non évident qui influence la participation
Jusqu’à présent, on a parlé du moment où commencer ton webinaire. Mais il y a un autre élément temporel qui influence considérablement la participation : sa durée.
Les données de 2024 montrent que la durée moyenne d’un événement sur ClickMeeting était de 106 minutes. Ça fait presque deux heures. Mais c’est une moyenne : les événements réels allaient de présentations rapides de 30 minutes à des formations complètes de 3 à 4 heures.
Quel format marche le mieux ? Ça dépend de ton public et de l’objectif de l’événement. Mais en général, les événements plus longs ont plus de participants, mais moins d’inscriptions. Les événements plus courts attirent plus d’inscriptions, mais les gens les prennent moins au sérieux.
Mettez-vous à la place des participants. Si vous voyez un webinaire de 30 minutes, vous vous dites peut-être « bon, c’est juste une demi-heure, je peux caser ça entre deux réunions ». C’est facile de s’inscrire. Mais c’est tout aussi facile de se dire « ah, c’est seulement 30 minutes, je regarderai l’enregistrement plus tard » et de ne pas participer en direct.
En revanche, un événement de 2 heures demande un engagement plus important. C’est plus dur de s’inscrire (tu dois réserver beaucoup de temps). Mais si quelqu’un s’est déjà inscrit, il est plus susceptible de se présenter, car il a prévu ce temps, bloqué son agenda, et son engagement mental est plus fort.
Les données confirment cette intuition. En 2024, les participants ont passé en moyenne 70 % du temps de l’événement, soit environ 74 minutes pour un événement moyen de 106 minutes. C’est un excellent résultat en termes d’engagement !
Pour les formations, le Verte Training Center organise généralement des sessions de 3 à 4 heures, ce qui équivaut à une formation en présentiel. Mais ils ont aussi mis en place des formats plus courts, d’une à deux heures, pour les sujets qui ne nécessitent pas d’approfondissement. Cette flexibilité leur permet d’adapter la durée au sujet.
Ta stratégie devrait être similaire : si tu as un sujet complexe qui nécessite une couverture complète, n’hésite pas à prévoir deux à trois heures. Les personnes qui sont vraiment intéressées apprécieront la profondeur. Si tu as une mise à jour rapide ou un sujet précis, 45 à 60 minutes peuvent être idéales.
La clé : toujours communiquer la durée à l’avance. Quand les gens savent que ça va durer 2 heures, ils peuvent s’organiser en conséquence. Les surprises (« Je pensais que ça allait durer 30 minutes, mais ça fait déjà une heure ») frustrent les gens et les poussent à partir en plein milieu.
La checklist ultime : étape par étape vers un timing parfait
Rassemblons tout ça dans une checklist pratique que tu pourras utiliser pour planifier ton prochain webinaire :
1. Choisis le jour de la semaine
Priorité n° 1 : mercredi Priorité n° 2 : mardi ou jeudi À éviter : lundi, vendredi, week-end
2. Choisis l’heure
Pour un public international : 14 h – 16 h CET Pour un public européen local : 16 h – 17 h Pour les lève-tôt et les formations : 8 h – 9 h À éviter absolument : 12 h – 13 h (déjeuner), après 19 h pour le B2B
3. Vérifiez les fuseaux horaires
Identifiez où se trouve votre public principal (50 %+) Optimisez l’heure pour eux Envisagez des sessions jumelées pour les publics très internationaux
4. Définissez la durée de l’événement
Mises à jour rapides : 30 à 45 minutes Webinaires standard : 60 à 90 minutes Formations complètes : 2 à 3 heures Communiquez clairement la durée dans la promotion
5. Configurez l’automatisation
Mettez en place des rappels : 1 jour avant + 1 heure avant Activez l’intégration du calendrier (iCal/Outlook) Pour les événements récurrents : utilisez les fonctionnalités d’événements récurrents dans ClickMeeting
6. Testez et optimisez
Suivez la participation pour différents jours/heures Comparez les mesures dans les analyses ClickMeeting Faites des tests A/B pour différents créneaux horaires pour des événements similaires Misez sur ce qui fonctionne le mieux
7. Préparez un plan B
Enregistre les absents Envoie un e-mail de suivi avec un lien vers la rediffusion Planifie déjà le prochain événement à un moment optimal
Cas particulier : événements hybrides
Parfois, ton événement n’est pas 100 % en ligne. Tu organises peut-être une conférence avec une option de participation à distance, ou une formation où certaines personnes sont présentes en personne, d’autres en ligne. Comment le timing change-t-il ?
Le centre de formation Verte a une expérience intéressante à ce sujet. En juin 2022, ils ont organisé la première conférence nationale sur les ressources humaines et la paie en format hybride : certains participants étaient sur place, d’autres via ClickMeeting. L’événement a duré deux jours et a couvert des sujets juridiques complets sur les ressources humaines et la paie.
Pour les événements hybrides, le timing est encore plus important. Tu dois répondre aux besoins des deux groupes :
Les participants en personne ont besoin de temps pour se rendre sur place. Ça veut dire qu’un début trop tôt (avant 9 heures du matin) peut poser problème pour les personnes venant d’autres villes. En même temps, tu ne peux pas finir trop tard, car les gens doivent rentrer chez eux.
Les participants à distance ont plus de flexibilité, mais aussi des attentes. Si l’événement dure toute la journée (par exemple, de 9 h à 17 h), les participants en ligne peuvent avoir du mal à rester attentifs pendant si longtemps sans la présence physique et l’énergie d’un public en direct.
La solution ? Organiser l’événement hybride en sessions clairement définies avec des pauses. Par exemple : session du matin de 9 h à 12 h, pause déjeuner d’une heure, session de l’après-midi de 13 h à 16 h. Les participants à distance peuvent choisir les sessions qui leur semblent les plus intéressantes et y assister de manière sélective.
ClickMeeting prend en charge cette fonctionnalité grâce à la diffusion simultanée sur YouTube ou Facebook, ce qui élargit la portée au-delà des participants inscrits et permet aux gens de « se connecter » à certaines parties de l’événement.
Questions les plus fréquentes sur le timing des webinaires – FAQ
1. Dois-je toujours organiser mes webinaires le mercredi à 16 h ?
Non, c’est un bon point de départ, mais ce n’est pas une règle. Utilisez le mercredi à 16 h comme heure par défaut, mais testez d’autres créneaux horaires pendant 2 à 3 semaines avec votre public spécifique. Vos données peuvent différer des références. Par exemple, le marché allemand préfère les heures plus matinales, et certains secteurs ont leurs propres habitudes.
2. Que faire si mon public se trouve à 100 % en Asie ?
Adaptez-vous à leur heure locale. 16 h CET, c’est tard le soir en Asie. Optez plutôt pour 11 h-14 h, heure locale, ce qui correspond au début de la matinée ou à l’heure du déjeuner en Europe. Vous pouvez aussi enregistrer l’événement et le diffuser à l’heure qui leur convient le mieux, avec une modération en direct.
3. Est-ce que je peux organiser plusieurs webinaires à des heures différentes pour toucher différents publics ?
Bien sûr ! C’est la stratégie des « créneaux horaires multiples ». Utilise les webinaires automatisés de ClickMeeting pour diffuser le même contenu plusieurs fois sans avoir à le présenter à chaque fois. Cette stratégie est particulièrement efficace pour les contenus intemporels et les publics internationaux. S-FX le fait régulièrement, en organisant 3 à 4 événements par mois.
4. Les rappels par e-mail augmentent-ils vraiment la participation ?
Oui ! Les rappels envoyés 1 jour + 1 heure avant l’événement peuvent augmenter la participation de 15 à 20 %. Les gens s’inscrivent avec de bonnes intentions, mais oublient. Les rappels permettent de garder l’événement à l’esprit. ClickMeeting automatise cette tâche, vous n’avez donc pas à vous en souvenir.
5. Combien de temps avant l’événement dois-je ouvrir les inscriptions ?
2 à 3 semaines est le délai idéal pour la plupart des webinaires. Ça laisse le temps de faire la promo, mais c’est pas trop loin pour que les gens oublient. Pour les grosses conférences ou les événements payants premium, tu peux ouvrir les inscriptions même 2 à 3 mois à l’avance. Pour les mises à jour rapides, une semaine à l’avance peut suffire.
6. Est-ce que je devrais organiser des événements le week-end pour les gens qui travaillent ?
En général, non. La participation le week-end est très faible : les gens veulent se reposer, pas participer à des webinaires. Exception : les communautés de loisirs très spécialisées ou les formations certifiantes spécialisées, pour lesquelles les participants réservent consciemment leur week-end. Mais pour 95 % des événements, t’en tiens à la semaine de travail.
7. Comment gérer le décalage horaire entre les États-Unis et l’Europe ?
Option A : choisis 14 h-15 h CET (8 h-9 h EST) – tôt pour les États-Unis, mais possible. Option B : Organise deux événements : un pour l’Europe (16 h CET) et un autre pour les États-Unis (16 h EST / 22 h CET). Option C : Enregistre une seule fois, diffuse dans deux créneaux horaires avec une modération en direct. Le choix dépend de l’importance que tu accordes à l’interaction en direct.
8. Que faire si personne ne participe à mon webinaire malgré un bon timing ?
Le timing n’est qu’un facteur parmi d’autres. Vérifiez aussi : le sujet est-il intéressant pour le public ? La promo a-t-elle touché les bonnes personnes ? L’inscription est-elle facile ? Avez-vous envoyé des rappels ? Y a-t-il des événements concurrents au même moment ? Analysez le taux de complétion des e-mails, le taux de clics, les points d’abandon dans le processus d’inscription.
9. À quelle fréquence puis-je organiser des événements récurrents sans lasser le public ?
Ça dépend du format et de la valeur. Verte organise des événements chaque semaine (les mercredis RH) et reçoit plus de 6 000 inscriptions à chaque fois. La clé : une qualité constante, des sujets variés, une valeur claire à chaque fois. Pour un contenu moins fréquent et de grande valeur, une fois par mois est une bonne fréquence. Teste et observe si les inscriptions baissent, c’est un signe que la fréquence est trop élevée.
10. La durée de l’événement a-t-elle une incidence sur l’heure à laquelle il doit commencer ?
Oui ! Pour les événements de 3 à 4 heures, évitez les débuts tardifs : personne ne veut finir à 21 heures. Il vaut mieux commencer entre 9 et 10 heures du matin. Pour les sessions rapides de 30 à 45 minutes, vous avez plus de flexibilité : même un début à 17 heures est acceptable, car vous finirez avant 18 heures. Communiquez toujours à l’avance la durée totale prévue.
